Mini enquête insertion : Que font les apprentis après le CFASVA ?

La demande venait de notre directeur, Patrick Ferrier, soucieux du taux et de la qualité de l’insertion professionnelle des jeunes issus de nos formations. L’enquête s’adressait aux trois dernières promotions (jeunes ayant terminé leur formation en 2014, 2015 et 2016). Elle portait sur la poursuite de leur parcours dans la vie professionnelle, leur insertion : nombre d’heures travaillées, types de contrats, entreprises dans lesquelles ils travaillent ….

DEUX CONSTATS RÉJOUISSANTS

A la sortie du CFA-SVA, toutes sections confondues, 92 à 97 % (selon les années) des apprentis sortent avec leur titre ou leur diplôme en poche.
Si ces chiffres sont une fierté pour nous, la plus grande fierté demeure que ces « passeports » leur ouvrent toutes les portes du monde du travail.
Car le résultat de cette enquête est clair : après le CFA-SVA, ces jeunes professionnels travaillent, travaillent beaucoup, travaillent partout.

POUR LES APPRENTIS ISSUS DE NOS FORMATIONS EN SPECTACLE VIVANT

Oui, à l’issue de nos formations, ces jeunes poursuivent presque tous dans la voie professionnelle qu’ils avaient choisie (95 % d’entre eux) et ceci dès 3 mois après la sortie de leur cursus.
Ce taux d’insertion qui avoisine souvent les 100% nous prouve année après année que les formations du CFA-SVA forment des professionnels attendus sur le marché du travail. Et pour 73.5% d’entre eux, le poste qu’ils occupent est en parfaite adéquation avec le titre qu’ils ont préparé.
Mêmes jeunes et avec peu d’expérience professionnelle, ils sont souvent considérés comme des professionnels accomplis.
A l’issue de nos formations, ces jeunes professionnels travaillent pour deux tiers dans l’intermittence et pour un tiers sur des postes permanents. Et en tous cas, ils travaillent plus de 1000 heures par an en moyenne.
Après le CFA-SVA, nous avons aussi constaté avec plaisir que ces jeunes professionnels travaillent dans toutes les structures de spectacle vivant, théâtre, compagnies, festivals, événementiel, prestataires, petites ou grosses entreprises, preuve de leur polyvalence et de leur employabilité.
Et certains, parmi les plus anciens, ceux des premières générations d’apprentis de Bagnolet, sont revenus chez nous… comme formateurs !

POUR LES APPRENTIS ISSUS DE NOS FORMATIONS EN AUDIOVISUEL

Dans l’audiovisuel aussi, le taux d’insertion professionnel dépasse les 95%.
Cet accès à l’emploi s’opère à 70% dans la voie qu’ils ont choisie et à 67% sur des postes en bonne adéquation avec le diplôme préparé.

S’ils travaillent plus souvent que les jeunes issus des formations en spectacle vivant sur des postes fixes, ils signent naturellement plus souvent que leurs homologues en spectacle vivant des contrats à durée indéterminée.

Et pour eux aussi, la polyvalence est au rendez-vous puisqu’ils trouvent de l’emploi aussi bien dans de très grosses entreprises que dans des petites et ceci dans tous les domaines de l’audiovisuel.